Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Deux ans de présidence Sarkozy : un bilan fatalement sans appel

06/05/2009 18:28

Deux ans de présidence Sarkozy : un bilan fatalement sans appel


Le Président de la République a affirmé hier à Nîmes que le temps des bilans n’était pas venu. On le comprend tant un examen impartial et lucide des deux premières années du quinquennat pourrait être accablant.
Il préfère, il en a livré une nouvelle illustration hier soir, cette fuite en avant dans des discours schizophrènes qui lui permettent, pour combien de temps encore, avec l’aide de quelques groupes de médias bien complaisants, de saturer l’espace public, donnant le tournis aux Français et gardant toujours deux longueurs d’avance sur ses opposants, qui ne disposent pas du même temps de parole pour exprimer leurs critiques et faire valoir leurs propositions.
En vérité, ces deux premières années auront été très paradoxales.
La rupture promise n’a pas eu lieu là où elle était tant attendue. Elle a, en revanche, été mise en œuvre dans des domaines et dans un sens où elle n’avait pas été annoncée. Les discours d’Henri Guaino, si utiles pendant la campagne présidentielle pour « plumer la volaille » électorale, ont été bien évidemment, comme j’en avais publiquement exprimé la crainte, systématiquement trahis par les actes.
Quoi d’étonnant d’ailleurs, quand on connaît la personnalité et le terreau idéologique du Président : atlantisme, communautariste, ultralibéralisme, amour de l’argent et de ceux qui en ont, mépris pour le modèle social et républicain français. Chassez le naturel, il revient aussitôt au galop !
Oubliée donc la rupture avec la pensée unique si habilement mise en scène pendant la campagne.
- L’éloge à « l’école du mérite et de l’effort » a abouti dans les faits à la réduction sans précédent de 7% des heures de cours en primaire et à la réduction des exigences de culture générale dans les concours de la Fonction Publique, qui sont eux-mêmes dévalorisés, remis en cause dans leur principe par une discrimination positive sans le nom.
- L’ode au travail, aux petites entreprises et à la baisse des charges pour dynamiser l’emploi, se traduit par la création de 10 taxes ou impôts nouveaux et par une politique économique à la fois dictée par quelques copains du CAC 40 et par l’éternel malthusianisme de l’Europe bruxelloise. - L’hymne à Jaurès et à la justice sociale se trouve renié par un bouclier fiscal ahurissant en période de crise, qui exempte les ménages très aisés du paiement du RSA, laissé aux classes moyennes (les moins pauvres paient pour les plus pauvres, drôle de justice sociale !) - La volonté de rééquilibrage des institutions en faveur du Parlement est un trompe-l’œil car le Président pilote en direct l’UMP qui détient, à l’Assemblée Nationale, la majorité des sièges.
- Le culte de l’identité nationale conduit, comprenne qui pourra, à la relance de l’immigration de travail, aux statistiques ethniques et aux communautarismes religieux.
 - Enfin, dans le domaine européen qui avait, là aussi, donné lieu pendant la campagne à de beaux discours sur la faillite de la Commission de Bruxelles et la nécessaire lutte contre les délocalisations, aboutit à un grand écart permanent et à une incohérence flagrante.
 - Le fameux « traité simplifié » censé réconcilier le Oui et le Non de 2005 est devenu la copie conforme de la Constitution européenne. Ainsi le traité de Lisbonne supprime le droit de veto de la France sur les négociations commerciales à l’OMC mais, avec le culot qui le caractérise, le Président promet aux agriculteurs français qu’il mettra le droit de veto sur tout accord commercial dangereux pour eux !?
 - Sur la Turquie, l’incohérence est tout aussi béante. D’un côté, le Président s’y déclare opposé, de l’autre, il a laissé ouvrir à Bruxelles, avec l’accord de la France, 8 chapitres de négociations et a fait supprimer le référendum obligatoire qui avait été constitutionnalisé par Jacques Chirac pour éviter un mariage forcé.
- En revanche, des ruptures qui n’avaient pas été annoncées ont été mise en œuvre. Ainsi, le retour dans l’OTAN, signe la fin de 50 ans de consensus politique français, abîme l’image de notre pays dans le monde. De même, l’envoi de troupes en Afghanistan est contraire aux engagements pris pendant la campagne électorale.
Bilan très sévère diront certains. Oui, car plus que tout Nicolas Sarkozy, par son attitude permanente politicienne et partisane, décrédibilise profondément la fonction présidentielle qui avait été justement inventée par le Général de Gaulle pour servir de clé de voûte à notre pays tiraillé par des divisions permanentes et menacé par le déclin.
Les Français, bien évidemment, pourront parfois éprouver une certaine admiration pour l’animal politique, sa capacité de rebond, son intelligence tactique, son talent d’avocat, mais ce qui manque le plus au terme de ses deux ans de présidence, ce sont des résultats véritablement tangibles et positifs, c’est un sens donné à l’action, une cohérence dans le projet, un respect du peuple, une compréhension de ce qu’est la France et de ce qu’attendent nos compatriotes.
Mais je crois sincèrement que les Français, dans leur ensemble, ont compris tout cela. La question n’est donc plus de savoir si Nicolas Sarkozy est un bon ou un mauvais Président, mais de proposer au plus vite une alternative crédible. Non pas une alternative en terme seulement de personnalité, mais de projet politique qui aille enfin à la cause des problèmes profonds du pays.
Car, n’en doutons pas, après les échecs de François Mitterrand, de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy, la question centrale est de savoir comment, dans une mondialisation sauvage, nous pouvons préserver et faire s’épanouir un modèle français détricoté et attaqué de toutes parts.
C’est là bien sûr qu’intervient la question européenne qui est, chacun le sait, centrale. Je vous renvoie, pour ne pas allonger démesurément ce billet au format déjà inhabituel, à mon discours de clôture du Congrès fondateur de Debout la République du 23 novembre dernier où je tentais de tracer quelques pistes pour l’avenir.
En attendant, mobilisons-nous pour les élections européennes !
NDA


Commentaire de manéthon (06/05/2009 18:31) :

Crise mondiale : pour la première fois depuis 1945, le chômage va atteindre des sommets en Europe.Selon un rapport de la Commission européenne, l'économie de la zone euro va se contracter de 4% cette année, ce qui entraînera un taux de chômage record de 11,5% en 2010, du jamais vu depuis l'après-guerre.C'est encore un dégât co-latéral de la mondialisation et du modéle économique que Bruxelles entend supporter !





Discours de Nîmes : Nicolas Sarkozy candidat à la présidence d’une Europe imaginaire

06/05/2009 10:59

Discours de Nîmes : Nicolas Sarkozy candidat à la présidence d’une Europe imaginaire


COMMUNIQUE DE PRESSE

Discours de Nîmes : l’Europe schizophrène de Nicolas Sarkozy

Dans son discours de Nîmes, Nicolas Sarkozy a vilipendé la faillite de l’Europe. Aurait-il donc oublié qu’il en est, avec ses amis et ses « opposants » du PS, l’un des principaux artisans en France ?
La tartufferie politicienne confine ici à la schizophrénie.
Comment peut-il dénoncer l’ouverture à tous les vents de la mondialisation alors qu’il a imposé aux Français, dans leur dos, le traité de Lisbonne ? Car ce traité étend la majorité qualifiée et supprime le veto de la France pour tout accord négocié par la Commission à l’OMC. Or nous savons tous que la position de la France est ultra-minoritaire sur ce dossier !
Comment peut-il dénoncer la mise à mort de la PAC et de toute ambition industrielle nationale, alors qu’il a accepté et signé tous les traités qui consacrent la toute-puissance de la « concurrence libre et non faussée » de Bruxelles ?
Enfin, comment ose-t-il se poser en rempart à l’entrée de la Turquie, lui qui a supprimé de la Constitution française l’obligation référendaire pour l’admission de nouveaux pays membres et qui a donné son accord à l’ouverture de huit nouveaux chapitres d’adhésion de ce pays à l’UE ?
Ce n’est pas par l’incantation, le « volontarisme politique » face à des partenaires et une Commission de Bruxelles qui n’en ont cure, que l’on « changera l’Europe ». C’est en réparant précisément les dégâts causés par l’Europe schizophrène de Nicolas Sarkozy, que l’on se donnera les moyens de remettre l’Europe sur les rails et de redresser la France.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste et républicain Debout la République





Discours (mi)Nîmes

06/05/2009 10:35

Discours  (mi)Nîmes


Devant  un peu moins de 4000 courtisans en pâmoison, « Sarko 1er le petit » a vanté l’Europe de son ami Barosso. Pas un mot sur l’Europe qui instaure l’insécurité sociale, sur l’Europe non démocratique qui s’assoit sur la volonté de 3 peuples (Français, Hollandais et Irlandais), pour faire court, de cette Europe qui ne marche plus !  Que nenni, rien que du bonheur dans cette Europe là ! Et les opposants alors ? Rien qu’une bande de rabat - joie inconscients des bienfait de mère Europe ! Et voilà, fermer le ban, Sarko magister dixit !
  Bref, ce 5 mai à Nîmes,  du grand Sarkozy dans son style préféré : fatuité, auto – satisfaction et mépris. Manquez plus que la musique dans un air du « maréchal nous voilà «  devant lui le sauveur de l’Europe ! Voilà pour la forme. Pour le fond, rien de nouveau. Toujours aussi prétentieux, lui qui n’a pas réussit à changer la France (pour faire « positive attitude » il l’a changé en moins mieux ), veut  changer l’Europe (sic), moraliser le Capitalisme (re – sic) et de passer au crible toute une litanie de critères qu’il juge positif grâce à l’Europe ! Sans oublier le gros mensonge de la soirée, je cite « son opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne » ! Etrange puisqu’ il vient d’entamer 8 volets de négociation sur le sujet avec ce pays. Frimeur, hautain, cynique et moult tares qui sont sa marque de fabrique, tout a défilé dans ce grand show de l’inutile ! Ah oui, une dernière pour la route : « l’Europe a besoin d’être incarnée, d’être dirigée… » ! C’est beau, surtout lorsque l’on réalise que ces paroles furent prononcées par un homme qui n’incarne que lui même et dont la principale caractéristique et l’inaptitude à diriger… Du grand art je vous dis !
 PW 


Commentaire de caton l\'ancien (06/05/2009 18:36) :

La Commission européenne a encore revu en baisse ses prévisions économiques ce lundi 4 mai avec une récession attendue de 4 % désormais cette année dans la zone euro, ce qui entraînera en 2010 un taux de chômage record pas égalé depuis 1945, et une envolée des déficits publics. Il s'agit de la pire récession pour le continent depuis la Deuxième guerre mondiale, bizarrement plus accentuée encore qu'aux Etats-Unis d'où est partie la crise financière.Sur le plan social, la Commission s'attend par ailleurs à ce que la récession s'accompagne de 8,5 millions de pertes d'emploi dans l'Union européenne en 2009-2010, une saignée qui devrait se traduire par un taux de chômage de 10,9 % l'an prochain. Dans la zone euro, elle prévoit qu'il atteigne 11,5 % en 2010, un niveau sans précédent depuis l'après-guerre toujours selon Bruxelles. http://www.google.com/hostednews/af... Pour ceux qui croient encore que la monnaie unique nous protège.Pour ceux qui croient encore que l’euro nous protège.Je répète cette phrase : « Il s'agit de la pire récession pour le continent depuis la Deuxième guerre mondiale, plus accentuée encore qu'aux Etats-Unis d'où est partie la crise financière. » Méditer bien la dessus !





Prisons : le gouvernement doit répondre à l’urgence

05/05/2009 11:35

Prisons : le gouvernement doit répondre à l’urgence


COMMUNIQUE DE PRESSE

Debout la République demande au gouvernement d’entendre les personnels pénitentiaires

Nombreux sont les rapports parlementaires qui ont dénoncé l’état calamiteux des établissements pénitentiaires français.
Néanmoins, les citoyens et les médias oublient trop souvent que les prisonniers ne sont pas les seuls à pâtir de ces conditions déplorables : les personnels de surveillance, agents administratifs et techniques des prisons françaises sont, eux aussi, frappés de plein fouet par la mauvaise gestion de notre patrimoine carcéral depuis de trop nombreuses années. A cela s’ajoutent l’insuffisance des effectifs - notamment la nuit - et le manque de considération des Directions des établissements pénitentiaires à l’égard de surveillants souvent mis en cause par des détenus sans scrupule.
On parle avec raison des suicides des détenus, mais on ne parle jamais, à tort, des suicides des personnels pénitentiaires !
Depuis plusieurs mois, les syndicats ont alerté le ministère de la Justice, qui a préféré laisser pourrir le problème. Aujourd’hui, la situation est critique. Debout la République demande par conséquent au gouvernement d’écouter et d’entendre les revendications légitimes des personnels : accélération du programme d’investissement, rétablissement d’un taux d’encadrement correct, soutien des agents face aux détenus violents... Comme pour l’hôpital, comme pour l’Education Nationale, la réforme du système pénitentiaire ne peut et ne doit pas se faire superficiellement et au pas de charge, au détriment du service public.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





Interdiction des listes Dieudonné : les apprentis-sorciers de l’Elysée voudraient-ils détourner le débat démocratique ?

04/05/2009 21:24

Interdiction des listes Dieudonné : les apprentis-sorciers de l’Elysée voudraient-ils détourner le débat démocratique ?


Les déclarations du Secrétaire Général de l’Elysée, M. Guéant, laissant entendre qu’il faudrait peut-être interdire les listes de M. Dieudonné, sont stupéfiantes à plus d’un titre.
Tout d’abord, à nouveau le Secrétaire Général s’exprime sur des sujets qui concernent avant tout le gouvernement, en particulier les ministères de la Justice et de l’Intérieur. Pourquoi donc, en vertu de quelle légitimité et de quelle intention présidentielle, ces déclarations ont-elles bien pu être faites ?
Deuxièmement, comment oser dans une démocratie adulte parler d’autoriser ou d’interdire des listes, comme si le Président de la République avait droit de vie ou de mort sur des candidats à une élection ?
Mr Dieudonné ne méritait pas tant de publicité. Je combats son attitude et ses idées mais je n’accepte pas que l’on puisse faire de lui un martyr. Importer dans notre pays comme il le fait le conflit israélo-palestinien n’est ni responsable du point de vue de l’éthique républicaine, ni politiquement acceptable dans la mesure où la France ne connaît pas ce conflit chez elle et n’a pas à le recréer de toutes pièces. A cet égard, les déclarations de M. Guéant, qu’il faut bien qualifier de dérapage, provoquent également le malaise, comme si le pouvoir et sa majorité acceptaient, en vue de flatter certains électeurs opposés à M. Dieudonné, de se situer sur le terrain délirant de ce dernier.
La question de la licéité du discours « antisioniste » de l’humoriste controversé ayant été posée, c’est sur ce terrain et uniquement sur celui-là qu’il faut se concentrer. De deux choses l’une : soit les discours et les professions de foi de ces listes tombent clairement sous le coup de la loi (la loi égale pour tous en République, faut-il le rappeler ?), et alors le gouvernement doit faire son travail en fonction de ce que prévoit la loi, ni plus, ni moins. Soit ce n’est pas le cas, et alors il appartient aux acteurs de la démocratie que sont les formations politiques, les médias et les observateurs de la chose publique (intellectuels, monde associatif, etc.), de mettre en garde les électeurs contre les idées et les discours qui leur paraissent jouer dangereusement avec les lignes jaunes. Et les électeurs, en adultes responsables qu’ils sont, feront le reste…
C’est par les urnes que nous devons réduire ces thèses nauséabondes et si M. Dieudonné enfreint la loi, il faut alors le poursuivre devant les tribunaux pour incitation à la haine raciale.
Ces sujets sont trop graves pour laisser le Secrétaire Général de l’Elysée jouer à l’apprenti-sorcier. D’autant que ces petites polémiques, ne l’oublions pas, permettent « d’occuper », de polluer, la scène médiatique des élections européennes, permettant à la plupart des listes en course de continuer à se murer dans un déni de débat et de propositions. Sans doute pour la simple raison qu’elles n’ont pas grand-chose à gagner à débattre et à proposer, vu le bilan européen calamiteux dont elles sont souvent coresponsables…
NDA



Commentaire de Anthéa (04/05/2009 21:32) :

Ca continue, le bon petit soldat Gueant fait ce qu'il croit être son devoir sacré rendu au petit chef Sarko 1er. Aux ordres, il s'octroie le droit de gérer et d'administrer les listes électorales ! Encore un pas dans la dictature que le petit caporal de l'élysée veut nous imposer.Dénonçons inlassablement toutes ces dérives que plus personne ne supporte!





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